Le don du sang, le don d’organe
et état de mort clinique
Le don du sang peut être fait dans la mesure où l’action est faite selon un bon ressenti. À savoir, donner son sang, quand nous-même nous sommes en parfaite santé. Donner son sang dans un but d’aider et de soigner. Le sang peut être ainsi donné, dans un acte d’Amour Pur. L’on peut donner son sang afin d’aider. L’on peut donner son sang pour permettre à l’autre personne d’être soigné, dans un acte d’Amour Pur.
Au niveau vibratoire, tout est relatif, car notre propre sang porte notre ADN qui sera ensuite dans le sang de l’autre personne, qui portera en elle notre ADN. Faire attention en cela, que les énergies seront présentes en l’autre personne. Nos énergies seront retransmises et vibreront dans le corps de la personne qui recevra notre sang. Le sang qui est donné est une partie de nous et de ce fait, il transmet toutes nos données, que la personne reçoit et vit AVEC. C’est en cela qu’il faut prendre garde, car vivre avec des énergies d’une autre personne, peut être positif et où négatif selon la vie qu’a eu la personne jusqu’au jour du don de son sang. À votre bon jugement en cela.
C’est là, la bonne décision à prendre, en ce moment précis d’une vie qui fait que je dois décider, si oui ou non j’accepte de porter en mémoire sanguine, les mémoires de cette personne ou pas. Tout est porté en soi.
Le don d’organe
Pour ce qui concerne les organes, cela est différent, en ce sens que les organes vous ont été donnés pour votre accomplissement de vie Terrestre. Vous avez besoin de tous vos organes vitaux, pour mener à bien votre propre vie terrestre, de par vos propres choix consentis avant votre venue sur cette terre. De ce fait, le fait de donner vos organes, amoindrit vos chances de survie et votre potentiel à vivre pleinement votre vie sur terre, au mieux de votre bien-être. Restez en toute conscience du fait, que c’est votre corps. Votre corps physique, il est à vous.
À vous de prendre là encore la bonne décision, la plus favorable à votre propre existence de vie, afin de ne pas vous perdre sur votre chemin de vie, à savoir de ne pas se mettre en péril physiquement et de ne pas mettre sa propre vie en danger de par un don d’organe.
Il en va de même en ce qui concerne les mémoires, les énergies que portent vos organes. Lors d’une transplantation, la mémoire cellulaire de vos organes fusionnera alors avec chacune des cellules Divines de la personne qui recevra votre don d’organe. elle en percevra grandement des changements radicaux sur ses futures interactions Divines. À savoir, elle percevra sous de multiples facettes des états d’esprit correspondant à la personne qui a fait ce don d’organes et sa vie s’en retrouvera alors complètement changée de par des prises de consciences alors totalement différentes de ses propres convictions de vie personnellement ressentie auparavant.
État de mort clinique
Concernant les états de mort cliniques, l’âme vit toujours. L’âme est toujours vivante en lien direct avec son corps. Faire attention en cela de ne pas ôter la vie. C’est l’âme qui décide, oui ou non de revenir dans son corps. La personne qui prend la décision de débrancher l’autre personne, se met en danger karmique. À savoir qu’elle devra faire rédemption de son acte par la suite de son évolution, afin d’épurer cette souffrance infligée à l’âme, qui n’aura pas choisi de partir d’elle-même.
Faire rédemption de son acte signifie que l’âme qui décide d’ ôter la vie de la personne qui se retrouve en état de mort clinique, devra faire rédemption totale de son acte devant Dieu. À savoir qu’elle devra si elle le souhaite répondre de ses actes, afin de pouvoir aider l’âme de la personne qui a vécu un débranchement lors de son état de mort clinique, de la façon suivante : Elle devra forcément décider d’épurer son karma de la façon la plus adapter à la bonne évolution positive de l’âme qui a subi le débranchement, afin de l’élever le plus positivement que possible dans un accompagnement mutuel lors d’une future réincarnation par exemple.
L’âme qui est sortie de son corps doit décider elle-même de revenir ou pas dans son corps physique, afin de décider de poursuivre ou pas, sa vie ici-bas sur cette Terre.
Marie-Myriam Pereira