Revenir à sa vraie nature

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Revenir à sa vraie nature

L’humain a véritablement besoin de revenir à sa vraie nature et de réapprendre à se nourrir convenablement, non pas d’illusions que l’on peut trouver dans les supermarchés, des produits complètement dérivés, des produits génétiquement modifiés comportant des mémoires cellulaires non adapté à l’être humain, des toxines que le corps n’a de cesse de vouloir évacuer car tout cela constitue un risque pour sa santé.

On se détruit, le suicide est une réalité, il n’existe pas que de part l’acte radical de mettre fin à sa vie de façon directe, non, le suicide se propage à petit feu dans notre société au travers nous, au travers d’addictions notoires comme l’alcool, la cigarette, mais pas seulement l’alimentation est en première ligne derrière votre état d’esprit psychique et est un facteur qui détermine qui l’on est. Éveillons-nous l’alimentation est le facteur premier déterminant du mal Être de la société actuelle. La nature à tant à nous donner, des produits naturels, sans pesticides, sans OGM tout simplement. Des fruits, des légumes, des racines, nous avons tous de manière très naturelle très simple à recevoir et nous nous focalisons sur les supermarchés ou nous allons nous enfermer pour faire les courses, nous ne respirons même plus de l’air pur. Éveillons-nous, il est temps à présent de percevoir que cette société actuelle est à la dérive, on prend le large on perd pied, on est plus enraciné. Retournons à nos vraies valeurs, demandons des conseils pour réapprendre à jardiner. Il est tellement nécessaire de mettre du cœur à l’ouvrage de sa vie pour parvenir à se réaliser sainement, s’investir, c’est-à-dire percevoir au travers soi ce qui est bon pour nous de ce qui ne l’est pas et s’engager, œuvrer, agir, passer à l’action de ce qui est juste pour NOUS pour EUX pour nos enfants à l’avenir. De l’investissement demande aussi d’ouvrir les yeux sur ce qui est de négatif à l’heure actuelle pour le transmutée en positif mais cela passe par la détoxication de soi, la détoxication de ce qui n’est plus possible de supporter à notre corps. Notre corps est à saturation de toute cette nocivité engendrés par divers états d’esprit au travers de divers asservissements notoires. On ne mange plus, on remplit des estomac, on prend du poids et on court à la pharmacie chercher des crèmes, des tonnes de médicaments, on voit des pubs à la télé et on croit que c’est la réalité. On nous maintient dans cette asservissement par la peur et les addictions, les produits transformés ne sont pas des produits positifs pour notre organisme. Toute nourriture qui est de l’œuvre de l’industrie et je n’oublie pas dans ce commentaire les médicaments. L’industrie pharmaceutique, n’est absolument pas opportune pour nous. Les médicaments font taire les symptomatiques et aggrave la douleur, les dégâts internes au développement humain. C’est comme débranché un câble qui permettrait aux voyants de votre voiture de vous alerter ! Votre corps cris de douleur pour vous alerter et vous l’empêcher de parler, vous l’empêcher de crier à chaque fois que vous éteignez la symptomatique. Vous ne guérissez pas une symptomatique vous débrancher le Cable qui lie la symptomatique à la douleur. C’est très grave de considérer que l’on est guéri quand on a plus de symptomatique lié à la douleur, il est très grave de penser cela, car en pensant cela on ne pense pas nos blessures profondes celles qui nous assujettissent à cette société par peur de manquer ou de ne pas avoir. On se console en mangeant tout et n’importe quoi, des produits sucré, trop sucré, trop salé, des produits toxiques, nocifs pour notre santé, des produits gras et non adaptés ! Éveiller son esprit en démontrant l’exemple en consommant des produits saints issus d’un jardin d’un potager, réapprenons le vrai goût des choses, respectons-nous démontrons l’exemple.
Je crois en nous, j’ai foi en l’avenir, mais cet avenir ne peut advenir que si l’humain prend les bonnes décisions pour lui au travers tous Je vous embrasse et nous souhaite le meilleur avenir qui soit.

Marie Myriam

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